(10/11/2014 – Ici d’Ailleurs / L’Autre Distribution) – En un peu plus de 20 ans de carrière, les tourangeaux ont développé une identité à part et acquis une aura particulière. Leur signature chez Ici d’Ailleurs et ce dixième album viennent le confirmer de manière éclatante. Se jouant des étiquettes (post-rock ? ambiant ? electro ?), le quartet trouve ici un équilibre remarquable entre ombre et lumière, éléments mécaniques et organiques, richesse visuelle incomparable et foisonnement sonore propice à l’immersion. Les voix de Pierre Motron (« Anonymous ») et de Laetitia Sheriff (« Eclipse ») viennent même enrichir la palette d’émotions et d’atmosphères offertes par ce LUX, dont la déclinaison scénique s’annonce impressionnante…
    

(10/11/2014 – Icid’Ailleurs / Differ-Ant) – Le 4^e album du batteur et multi-instrumentiste a été composé entre La Rochelle, Honfleur, Lisbonne et Budapest, au bord de l’eau. Sorti de la période un peu sombre de son précédent disque, c’est entouré de quelques amis (dont Xavier Plumas de Tue-Loup) que Thomas livre ici un disque généreux et contrasté, élargissant des horizons dans lesquels on aime à se perdre, en prenant son temps.
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(22/09/2014 – Ici d’Ailleurs / Differ-Ant) – Avec ce 3^e album, Louis Warynski annonce ses ambitions : sublimer l’existant, donner une dimension nouvelle à son œuvre, creuser sa singularité. Si électronique et violon continuent de se mêler intimement et parviennent toujours à nous surprendre, à nous happer même, la densité du travail d’orchestration permet au messin d’élargir encore le panel d’émotions qu’il nous propose. Imposant mais jamais austère à l’image du titre « Tea Tea Tea », un album qu’on va pouvoir découvrir également sur scène où pour la première fois il sera accompagné de 3 musiciens touche-à-tout formant avec lui une sorte de quartet de chambre électro.

 

(12/05/2014 – Ici d’Ailleurs / Differ-Ant) – Repéré par les Transmusicales en 2011,  auteur d’un mini-album éponyme sorti en 2012, retenu parmi Les Inouïs du Printemps de Bourges en 2013, lauréat du FAIR 2014, le rennais Dorian Taburet a concocté avec son complice nantais Antoine Bellanger un disque foutraque, original, dadaïste, imprévisible et loufoque comme on s’y attendait, mais aussi tour à tour plus pop ou plus sombre, plus fin ou plus expérimental d’un titre à l’autre. Et surtout d’une fraîcheur enthousiasmante !