17/06/2016 – Ici d’Ailleurs
Des remixes qui n’hésitent pas à s’éloigner des titres originaux et un inédit histoire de prolonger encore la formidable expérience LUX. 500 vinyles collector et du téléchargement gratuit.
24/06/2016 – Vila Mariana / Socadisc
Le touche-à-tout (écrivain, diplomate, multi-instrumentiste) s’éloigne un peu de la pop mais garde ses complices habituels pour un nouvel album toujours roboratif, avec des invités comme Andréa Ferréol, Morgane Coals de Concrete Knives ou encore l’égérie de Léos Carax, Mireille Perrier.
27/05/2016 – Ici d’Ailleurs / L’Autre Distribution
Ce mini-album est l’occasion de s’intéresser au travail que peux fournir Louis Warynski en dehors de ses albums et concerts, que ce soit des créations commissionnées, de la musique à l’image ou d’autres projets pour lesquels il est souvent sollicité par des artistes venus d’autres disciplines. En l’occurrence, c’est pour une installation interactive créée à Londres que le jeune compositeur lorrain avait créé avec brio ces 9 courtes pièces illustrant le thème de la métamorphose.
03-05/06/2016 – Paloma / Nîmes
Le rendez-vous désormais incontournable de la musique indé sous le soleil de Nîmes et dans un environnement à taille humaine, avec entre autres cette année Air, Foals, Beach House, Explosions in The Sky, Lush, Parquet Courts, Drive Like Jehu, Shellac, Ty Segall de retour avec ses Muggers, Destroyer, Tortoise, Battles… Vivement #TINALS !
27/05/2016 – Ici d’Ailleurs / L’Autre Distribution
Après l’échappée Bruit Noir puis la réédition des deux premiers Mendelson, l’année Pascal Bouaziz se poursuit avec la publication de son recueil de haïkus intitulé « Passages », puis la sortie de ce premier album solo. Et il a de quoi surprendre : ce n’est ni du Mendelson, ni du Bruit Noir et Pascal y chante plus qu’il n’y parle, en français toujours, sans pour autant qu’on puisse y déceler une influence ou filiation chanson. Epaulés par quelques proches dont la chanteuse Lou, lorgnant vers Neil Young, David Crosby ou Lambchop, Pascal Bouaziz nous fait entrer ici dans l’œil paisible, pur et harmonieux de son cyclone personnel. Hypnotique.
20/05/2016 – Gizeh Records / La Baleine
Si on l’identifie à son instrument rare et délicat (les Ondes Martenot), à ses prestigieuses collaborations (Tindersticks, Yann Tiersen…), la strasbourgeoise s’affirme également ici comme une pianiste sensible mais aussi et surtout une compositrice attachante, et particulièrement douée pour transporter l’auditeur dans un autre temps. Quelques années après « Solitude Nomade » et porté par la diversité de titres comme le clin d’œil « Sexy Moon », l’inquiétant « Disaster » ou l’onirique « A Mes Etoiles », ce deuxième album démontre sa pleine maîtrise d’un style, d’une patte bien à elle qu’on avait hâte de retrouver ou qu’on prendra plaisir à découvrir.
(29/04/2016 – Ici d’Ailleurs / L’Autre Distribution) –
Un joyeux bordel, c’est la promesse annoncée par la pochette du nouveau disque du trio, empruntée à une peinture d’Angela Dalinger. Dépassant le côté collage, bricolage ou rock foutraque auquel on l’identifie souvent, sans pour autant perdre une once de son identité, GaBLé se met en danger et parvient à surprendre l’auditeur même le plus averti, pour son plus grand plaisir. Comment font-ils pour donner une telle cohérence à des titres qui naviguent de la feel good music bien pop (« Tropicool », « On Purpose ») aux intrusions noise ou punk (« How Long », « Marvoof ») ? Pour détourner l’exercice de la balade (« Youngsters ») ou de l’épopée psyché (« Porti ») ? Un disque à la hauteur de leurs performances scéniques toujours énergiques, sympathiques et décalées, et un GaBLé en très grande forme.
(22/04/2016 – Fracamix / La Baleine) – [Promo presse] – Depuis une grosse quinzaine d’année, le nantais François Michel alias Framix navigue en toute liberté entre électro, musique des îles, pop, dub ou rock 50s. On pourrait n’y voir que de la « feel good music » comme cherchent les agences de pub (et sa musique a parfois servi pour de grosses campagnes), mais ce serait rater une dimension du bonhomme. Enjouée sur la forme voire franchement réjouissante (comme le premier extrait « Half A Coyote »), sa musique cache des textes volontiers plus sombres. Un artiste en retrait du monde dans son coin de campagne ou dans la forêt d’Alabama où il est allé se ressourcer pour écrire, et qui nous envoie une jolie carte postale.
(01/04/2016 – Ici d’Ailleurs/ L’Autre Distribution) – Aux côtés d’un nouveau batteur (Julien Rufié), Michel Cloup livre un album riche et intense, aussi intime que politique. Il parvient comme jamais à tirer un discours universel d’expériences éminemment personnelles, à faire entendre des textes à la densité rare tout en proposant un disque très musical, un peu plus arrangé que par le passé et pourtant direct, limpide, synthèse cohérente d’influences pourtant variées. Fort. Très fort.
(01/04/2016 – Ici d’Ailleurs / Differ-Ant) – Est-ce parce que c’est là son disque le plus minimaliste et le plus épuré : l’anglais n’a jamais fait montre d’autant de maîtrise dans son jeu de guitare comme dans sa voix profonde. Cause ou conséquence ? Peut-être aussi une façon de laisser plus de place à des textes de plus en plus riches, souvent cryptiques, tantôt personnels tantôt plus politiques, pessimistes certes et pourtant éclairés d’un humanisme en quête de sérénité.